Le verger


Sur une partie des 38 hectares attribués par les Domaines malgaches à l’association VITa , ont déjà été plantés :

  • environ 1000 arbres fruitiers – pommiers, citronniers, orangers, pêchers – pour approvisionner la cantine de l’école,
  • près de 900 mûriers pour créer dès qu’ils seront arrivés à maturité un élevage de vers à soie,
  • des ravensaras et 6 variétés d’eucalyptus pour en extraire des huiles essentielles,
  • des leucænas et des moringas pour faire des plantes fourragères
  • de la centella asiatica, de l’eugénia jambolona, etc.

Malgré les conseils d’ingénieurs agronomes, de l’ I.M.R.A. de Madagascar, du Silo National des Graines Forestières et de la pépinière du Ministère de l’Agriculture, le sol presque stérile de ces lieux et le manque d’eau, font que la croissance de tous ces arbustes est très lente. De plus, en 2003, un orage de grêle particulièrement violent a fait éclater l’écorce de la presque totalité de ces arbres, ce qui a eu pour conséquence de freiner un peu plus leur développement.

Par ailleurs, le manque de connaissance des gens de Tananomby dans ce domaine et les trop brefs séjours de visiteurs compétents, la production fruitière tant espérée n’est toujours pas au rendez-vous.

Avis aux spécialistes et aux amateurs qui voudraient bien s’y investir.

Sur une partie des 38 hectares attribués par les Domaines malgaches à l’association VITa , ont déjà été plantés :

– environ 1000 arbres fruitiers – pommiers, citronniers, orangers, pêchers – pour approvisionner la cantine de l’école,

– près de 900 mûriers pour créer dès qu’ils seront arrivés à maturité un élevage de vers à soie,

– des ravensaras et 6 variétés d’eucalyptus pour en extraire des huiles essentielles,

– des leucænas et des moringas pour faire des plantes fourragères

– de la centella asiatica, de l’eugénia jambolona, etc.

Malgré les conseils d’ingénieurs agronomes, de l’ I.M.R.A. de Madagascar, du Silo National des Graines Forestières et de la pépinière du Ministère de l’Agriculture, le sol presque stérile de ces lieux et le manque d’eau, font que la croissance de tous ces arbustes est très lente. De plus, en 2003, un orage de grêle particulièrement violent a fait éclater l’écorce de la presque totalité de ces arbres, ce qui a eu pour conséquence de freiner un peu plus leur développement.

Par ailleurs, le manque de connaissance des gens de Tananomby dans ce domaine et les trop brefs séjours de visiteurs s’y connaissant, la production fruitière tant espérée n’est toujours pas au rendez-vous.

Avis aux spécialistes et aux amateurs qui voudraient bien s’y investir.